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Rapport de la 14ème Réunion parents-enfants de l’ASEV

Cette réunion a eu lieu le 7 août 2022 à Vriddhachalam , organisée par Sr Meera et Paramanandaraj avec tous les filleuls et leurs parents. Il y avait environ 375 personnes. Après la messe dominicale, tous se sont rassemblés autour de la tombe du Père Olivier pour lui rendre hommage. Le père Paul Raj Kumar a dit une prière et béni la tombe. Mme Anne Dumas a mis une guirlande et les autres des fleurs.

137 étudiants plus 23 ayant terminé se sont enregistrés et on leur a offert du café et une brioche.

L’invitée principale était Mme Anne Dumas, Présidente de l’ASEV, accompagnée par 9 parrains ou proches. La sœur Sagayam Pathinathan , assistante de la Sœur Provinciale était invitée d’honneur.

A 10h début du programme avec hymne, lecture de la Bible et prière chantée en français par Alphonsia Santhia. Des châles ont honoré les participants.

Sr Meera a présenté les étudiants qui avaient terminé leurs études en mai 2020, 2021 et 2022. Elle les a félicités de leur travail et de leur réussite. Sur les 35 , 23 ont pu venir et 4 d’entre eux ont témoigné de la part de tous, et partagé leur expérience depuis le début de leur parrainage jusqu’à aujourd’hui. Ils ont exprimé leur profonde gratitude envers le Père Olivier, leurs parrains, Sr Jane, Sr Meera et Paramananda Raj pour les avoir guidés et soutenus toutes ces années.

« Aujourd’hui, nous sommes devant vous et nous vous parlons grâce à l’éducation que nous avons reçu avec ce projet. Nous sommes fiers de trouver notre place dans la société en tant que personnes qualifiées. Dans le futur  nous rejoindrons la FOEA et serons capables d’aider des étudiants pauvres, nos familles et des nécessiteux. Nous disons un immense MERCI ! »

Ils ont été pris en photo derrière les parrains et autres.

 

Plusieurs discours ont insisté sur l’importance de l’éducation, des valeurs dans la vie, la reconnaissance à avoir envers Dieu, les parrains et les Sœurs de Cluny pour avoir eu l’opportunité d’étudier grâce au Projet ASEV.

Christophe Dumas a mis l’accent sur la valeur des études et dit que l’éducation est certes importante mais tous ne sont pas au même niveau à l’école. Chacun a ses propres capacités à apprendre. Il ne faut pas se comparer aux autres mais travailler en fonction de ses propres possibilités.

A la fin Mme Anne Dumas a dit sa joie et sa fierté d’assister à cette réunion. Elle a rappelé être dans l’association depuis 1979 et heureuse de voir autant de monde. Elle a aussi insisté sur la nécessité de rejoindre la FOEA (association des anciens parrainés) pour aider l’éducation des enfants pauvres.

Sr Meera a évoqué la période du Covid pendant laquelle avec Bhaï, elle a pu continuer à payer les frais des étudiants et distribué lettres, cadeaux et argent des parrains. Elle a rappelé aux filleuls de remercier leurs parrains en précisant la nature de leurs cadeaux et donné quelques conseils pour rédiger leur lettre.

Bhaï a remercié tout le monde et le prêtre de la paroisse a dit la prière finale.
Après un bon déjeuner, les enfants ont écrit une lettre à leurs parrains. Ces lettres ont été vérifiées par Bhaï et Sr Meera leur a donné 400 rs (5 euros) pour rentrer chez eux. Tout s’est terminé à 18h30.

Quand le Covid 19 sévit en Inde

Quand le Covid 19 sévit en Inde

Comme partout dans le monde, le coronavirus sévit en Inde. Et Narendra Modi a instauré le confinement dans toute l’Inde. Un mois plus tard, ces migrants intérieurs, venus gagner leur vie dans les grandes villes, se sont retrouvés piégés par ce confinement. Brutalement le départ de milliers de journaliers qui voulaient quitter leur lieu de travail dans les métropoles, pour retourner dans leur village, a été interdit. Souvent payés à la journée, ils ont été subitement privés de ressources. De peur de mourir de faim dans les mégapoles, certains ont parcouru des centaines de kilomètres à pied (plus de bus…) pour retrouver leur famille. « On considère qu’il s’agit du plus grand mouvement de population depuis la partition de l’Inde en 1947. Nous sommes face à une véritable crise humanitaire » souligne un analyste politique.

Chaque jour qui passe, la souffrance des pauvres devient plus insoutenable que la veille. Quelques heures après l’annonce de la prolongation du confinement, des centaines de travailleurs migrants sont descendus dans les rues de Bombay, demandant désespérément de pouvoir rentrer chez eux. Les autorités n’ont eu que brutalité et coups de matraques comme seule réponse !

Si la situation reste tendue à l’intérieur des grandes métropoles, en revanche le confinement a été assoupli dans les zones rurales et les Etats épargnés par l’épidémie.

A Pondichéry, la vie reprend son cours après des semaines de strict confinement. La plupart des bazars et des commerces sont autorisés à ouvrir leurs portes jusqu’à 13 heures (marquage au sol et respect des distances). L’ASEV a pu envoyer très vite 3000 euros aux Sœurs de Pondichéry pour aider les familles les plus pauvres de la ville et bien sûr celles de nos filleuls. Je rappelle pour mémoire que l’ASEV a ses fonds propres, indépendants de l’argent des parrainages, et récoltés grâce aux actions menées dans l’année : vente de brioches, marché de Noël, pièce de théâtre, cotisations.
Sœur Meera a fourni ces familles de sacs de nourriture (riz, lentilles, huile et sucre) qui leur permettront de survivre plusieurs semaines.

Mais à Vriddhachalam, que se passe-t-il ? La frontière entre Pondichéry et l’Etat du Tamil Nadu étant fermée, Sr Meera n’avait pas la possibilité de s’y rendre et ne pouvait pas non plus envoyer de l’argent à Bhaï ! Nous avons réussi à lui faire parvenir 1500 euros par Western Union. A partir de là, Bhaï a obtenu une lettre d’un membre de l’Assemblée Législative l’autorisant à circuler avec son fils, malgré le confinement. Un ami journaliste pour une chaine de télévision l’a accompagné pour lui faciliter le passage hors du district de Vriddhachalam. Même avec cette autorisation, ce n’était pas si facile et plusieurs de nos filleuls n’habitaient pas Vriddhachalam même. Il a pu donner de l’argent aux 43 familles les plus pauvres parmi nos parrainés.

 

 

 

 

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A Delhi, une école sous un pont du métro.

Au cours d’un long périple autour du monde, le photographe Brice Garcin a découvert une étonnante école, installée sous un pont du métro, à l’initiative d’un épicier. Gratuite, elle accueille les enfants démunis du quartier.

<strong>Moyens rudimentaires.</strong><br/>Les écoliers sont toujours très attentifs. Aller à l’école est tellement inespéré pour eux ! Ils vivent en effet dans les bidonvilles voisins et leurs parents sont, pour la plupart, manœuvres, conducteurs de rickshaw, saisonniers, migrants. L’école a cependant peu de moyens : les tableaux sont peints sur les murs et, au début, les enfants étaient assis par terre./Brice Garcin/Hans Lucas

Moyens rudimentaires. 
Les écoliers sont toujours très attentifs. Aller à l’école est tellement inespéré pour eux ! Ils vivent en effet dans les bidonvilles voisins et leurs parents sont, pour la plupart, manœuvres, conducteurs de rickshaw, saisonniers, migrants. L’école a cependant peu de moyens : les tableaux sont peints sur les murs et, au début, les enfants étaient assis par terre. / Brice Garcin/Hans Lucas

Lorsqu’il était jeune, Rajesh Kumar Sharma rêvait de devenir ingénieur. Malheureusement, les difficultés financières de ses parents ne lui ont pas permis de se former dans l’école supérieure de ses rêves. Il est devenu épicier, métier dans lequel il a toutefois bien réussi. Mais, se souvenant de son passé douloureux, il a décidé de prendre sa revanche en aidant les enfants qui n’ont pas les moyens d’aller à l’école. À Delhi, la capitale indienne aux 20 millions d’habitants, dans le quartier pauvre de Yamuna Bank, il a ouvert, depuis 2006, ce qu’il appelle « l’école gratuite sous le pont ».

<strong>Discipline. </strong><br/>Avant le début des cours, Rajesh Kumar Sharma s’assure que tout est en place. Il n’hésite pas à faire montre d’autorité, histoire de « faire comprendre que gratuité ne rime pas avec absence de règles ». Grâce à son initiative, une partie des enfants rejoindra ensuite une école publique où l’enseignement est plus complet et où des repas gratuits sont fournis./Brice Garcin/Hans Lucas

Discipline. 
Avant le début des cours, Rajesh Kumar Sharma s’assure que tout est en place. Il n’hésite pas à faire montre d’autorité, histoire de « faire comprendre que gratuité ne rime pas avec absence de règles ». Grâce à son initiative, une partie des enfants rejoindra ensuite une école publique où l’enseignement est plus complet et où des repas gratuits sont fournis. / Brice Garcin/Hans Lucas

Il a en effet investi un espace entre les piliers d’un des ponts du métro pour y installer une salle de classe improvisée. Puis, il a écumé les environs pour convaincre les parents de laisser les enfants aller à l’école qui est, selon lui, le meilleur antidote à la criminalité. D’ailleurs, selon l’Unesco, faute d’aller à l’école, 17,7 millions d’enfants et d’adolescents indiens sont susceptibles de tomber dans différentes formes de déviances.

<strong>Soins. </strong><br/>À Delhi, des médecins volontaires, équipés d’une ambulance, vont distribuer gratuitement des médicaments dans les quartiers pauvres. Depuis qu’ils ont appris l’existence de l’école, ils ont pris l’habitude de venir trois fois par mois prendre soin des écoliers. Ceux-ci font la queue devant le camion. Compte tenu du dénuement de leurs familles, c’est leur seule chance d’être soignés./Brice Garcin/Hans Lucas

Soins. 
À Delhi, des médecins volontaires, équipés d’une ambulance, vont distribuer gratuitement des médicaments dans les quartiers pauvres. Depuis qu’ils ont appris l’existence de l’école, ils ont pris l’habitude de venir trois fois par mois prendre soin des écoliers. Ceux-ci font la queue devant le camion. Compte tenu du dénuement de leurs familles, c’est leur seule chance d’être soignés. / Brice Garcin/Hans Lucas

Chaque matin, Rajesh Kumar Sharma, désormais aidé par un assistant et par des volontaires, enseigne à ses petits protégés l’anglais, l’hindi, l’histoire-géographie et les mathématiques.

<strong>Renfort. </strong><br/>L’école reçoit de plus en plus de renfort. Non seulement Rajesh Kumar Sharma est désormais aidé par un assistant très dynamique, Laxmi Chandra, mais des volontaires donnent régulièrement des cours. Sur cette photo, le fils de Laxmi Chandra est en train de corriger les cahiers. Le sérieux de la petite élève, son appréhension d’avoir mal fait se lisent sur son visage./Brice Garcin/Hans Lucas

Renfort. 
L’école reçoit de plus en plus de renfort. Non seulement Rajesh Kumar Sharma est désormais aidé par un assistant très dynamique, Laxmi Chandra, mais des volontaires donnent régulièrement des cours. Sur cette photo, le fils de Laxmi Chandra est en train de corriger les cahiers. Le sérieux de la petite élève, son appréhension d’avoir mal fait se lisent sur son visage. / Brice Garcin/Hans Lucas

Longtemps professeur de design graphique, Brice Garcin, 42 ans, a décidé un jour de changer de vie et de faire de la photo, qu’il pratiquait déjà, son métier. Il s’est alors lancé dans un tour du monde qui a duré deux ans et demi. À Delhi, un Anglais qui s’était porté volontaire pour « l’école sous le pont » lui a fait découvrir cette initiative maintenant bien installée. Les dons, qui commencent à affluer, ont permis d’acheter un peu de matériel, des cahiers et des chaises notamment. Au début, les écoliers étaient assis par terre dans la poussière.

Photos de Brice Garcin/Hanslucas Texte de Paula Boyer

Le Jaïnisme

On estime le nombre de jaïns à 9 millions en Inde . ils seraient par ailleurs plus de 200 000 laïcs exilés aux Etats Unis et d’autres pays.

« On naît jaïn parce que l’on appartient à une famille pratiquant cette religion. Les jaïns ne font pas de prosélytisme et rares sont les conversions au jaïnisme. »

C’est l’une des plus anciennes religions au monde, puisqu’elle est apparue dans l’Inde antique au Xème siècle avant notre ère. Même si les hindous ont longtemps prétendu le contraire, le jaïnisme se différencie profondément de l’hindouisme.

Le jour de l’anniversaire de Mahavira, considéré comme le fondateur du jaïnisme, jour considéré comme une sorte de « Noël des jaïns », le premier ministre indien dépose une gerbe de fleurs devant sa statue .

Le but de l’existence dans le jaïnisme est d’atteindre l’illumination ou nirvana, et de sortir du cycle des réincarnations ou samsara. Les jaïns refusent toute brutalité non seulement par les actes et les mots mais aussi par les pensées. Depuis toujours, ils pratiquent et prêchent le respect de la nature et de l’environnement.

En cohérence avec ce voeu de non-violence les jaïns sont végétaliens et végans: ils ne mangent ni viande, ni poisson, ni oeufs, ni produits laitiers, ni vin, ni miel; ne portent jamais de cuir , de fourrure , de laine ou de soie .

Pour les remercier de leur engagement en faveur de la Création, le pape François a reçu en juin 2016 des représentants de l’Institut de jaïnologie de Londres. L’auteur de Laudato si a encouragé les jaïns à poursuivre ce qu’ils font pour protéger la vie sur terre, comme on le ferait avec une mère ou une soeur, avec tendresse et paix. 

Un projet de loi sur la GPA en Inde

Août 2016 : l’INDE veut restreindre fortement le recours à la GPA.

Un projet de loi entend réglementer la gestation pour autrui. La ministre indienne des affaires étrangères a déclaré : »c’est un projet de loi très large visant à interdire complètement la pratique commerciale de la GPA »

Si le Parlement vote le texte, les couples étrangers, les célibataires , les concubins et les couples homosexuels ne pourront plus avoir recours à la GPA en Inde. La ministre a précisé que « les couples sans enfants , qui ne peuvent en avoir pour des raisons médicales, peuvent demander de l’aide à un parent proche dans le cadre de la GPA altruiste  » c’est à dire sans contre-partie financière pour la mère porteuse. Enfin, selon le texte , une femme ne pourra porter pour autrui qu’une fois dans sa vie.

Le gouvernement entend lutter contre deux pratiques. Celle d’un « tourisme procréatif » en pleine croissance alimenté par les Occidentaux et celle de riches Indiens qui, selon la ministre  » ont transformé ce qui était un besoin pour certains en une mode « . Elle a stigmatisé notamment des acteurs connus de Bollywood qui souhaitaient un troisième enfant , mais dont les épouses ne souhaitaient pas être à nouveau enceintes. Ces acteurs ont alors fait le choix d’avoir recours à des mères porteuses.

Sushma Swaraj a indiqué que le projet de loi porterait aussi sur le sort et le bien-être de l’enfant. En effet, l’administration indienne a identifié des cas de bébés handicapés qui ont été finalement rejetés par les parents.

L’Inde a légalisé en 2002 le commerce des mères porteuses rémunérées. Des milliers de couples, y compris étrangers, en ont profité pour avoir des enfants.

De nombreux politiques en Inde ont dénoncé un secteur mal régulé qui exploite la pauvreté de certaines femmes , notamment à l’intérieur des minorités tribales .

Comme attendu, ce projet gouvernemental a été critiqué par les propriétaires de cliniques spécialisées. Des mères porteuses ont manifesté contre lui. Une grossesse est généralement rémunérée 5000 euros . la clinique facture les couples entre 20 000 et 30 000€.

Ce secteur d’activité générerait l’équivalent de 2 milliards d’euros , selon la chambre de Commerce indienne.

La GPA en Inde

Il n’y a pas de GPA altruiste

 

A New-Dehli, de très nombreuses cliniques pratiquent la Gestation Pour Autrui (GPA) mais il ne s’agit pas de mères indiennes bienveillantes acceptant de porter un enfant pour une mère stérile dépressive ; il s’agit d’une véritable affaire financière.

 

Officiellement, ces mères porteuses indiennes permettent ainsi à leur propre famille de mieux vivre ; la sous-traitance de la grossesse se monnaie entre 2.000 et 8.000 $ mais la part reçue par la mère porteuse n’est pas connue. Leur profil est : jeunesse, pauvreté, niveau d’éducation bas. Elles sont soustraites à leur famille pendant 9 mois et enfermées dans une clinique.

Dans ce nouveau type de Lebensborn, des « travailleurs sociaux » (geôliers) veillent à faire respecter la discipline : saisie des téléphones portables, règlement drastique en matière d’alimentation et d’heures de sommeil, sanctions physiques si la règle n’est pas respectée. Il y a des injections répétées d’hormones pour faire grossir l’utérus et favoriser l’implantation de 5 ou 6 embryons pour maximiser les chances de réussite ; quelle conséquence sur le fœtus et sur la santé de la mère ?

En cas d’échec, les femmes sont rejetées dans la nature ; leur nom ne figure d’ailleurs dans aucun registre. En cas de mort en couches, la famille de la mère porteuse n’est pas indemnisée.

Aujourd’hui, les Sud-Africaines sont les moins chères du marché ; elles livrent les bébés pour 300 € ; on les exporte en Inde pendant la grossesse.

 

Une pétition a conduit à interdire en Inde la GPA pour les étrangers à l’automne 2015, mais les directeurs de cliniques sont aussi propriétaires d’établissements au Cambodge, au Népal, en Australie ou ailleurs.

Aux USA, 10% des clientes d’une agence spécialisée affirment sous-traiter leur grossesse pour ne pas entraver leur carrière ni modifier leur silhouette.

Le but, à peine caché, c’est qu’à terme les gens cessent complètement de se reproduire naturellement.

Après tout, comme disait Pierre Bergé en 2012 « louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? ».

Evènements en France

< Concert Solidaire

Un concert pour l’ASEV a été donné le dimanche 17 janvier à 17h30 par l’Association Accords Solidaires

à La Celle St Cloud à l’Auditorium du Carré des Arts, 6 rue Yves Levallois

Il y avait un duo avec Nicolas Dupont , violon et Olga Kirpicheva, piano.

Au programme : Ravel, Claude Debussy, Thierry Pécou, .

Marché de Noël 2016

Le marché de Noël 2016 a eu lieu les 9 et 10 décembre et a connu un beau succès comme les quatre années précédentes. Les bénéfices aideront d’anciens parrainés qui ont initié des projets sociaux intéressants dans le domaine de l’éducation et de la santé.