Tous les articles par Anne-Elisabeth

Opération anti-corruption en INDE

L’opération anti-corruption en Inde tourne au chaos.

Le premier ministre Narendra Modi, a pris la nation par surprise en annonçant la démonétisation des gros billets de banque, devenant des « bouts de papier sans valeur ». Les billets de 500 et 1000 roupies sont retirés de la circulation et peuvent bien sûr être déposés ou échangés dans les banques. Deux nouveaux billets  de 500 et 2000 roupies les remplaceront d’ici à 5 semaines.

En attendant , le quotidien de ce pays de 1,3 milliard d’habitants est paralysé par cette mesure choc qui vise à lutter contre la corruption et à enrayer l’évasion fiscale. Et les Indiens se retrouvent pratiquement sans un billet en poche. Devant les banques et les distributeurs automatiques, la cohue ne faiblit pas.

L’économie quotidienne du pays qui fonctionne à près de 90% par des paiements en liquide , est  touchée de plein fouet.Les petits commerces qui fonctionnent en cash , ferment leurs portes ou font crédit! Les paiements électroniques qui ne représentaient que 14% des échanges, explosent. La situation est encore plus laborieuse dans les campagnes.

Cette décision soudaine a provoqué également un sérieux problème pour les familles préparant des cérémonies de mariage dont c’est la pleine saison, et qu’ils paient en liquide.

La grande question est de savoir si la mesure sera efficace. Est-elle un coup d’éclat politique? Elle éblouit une partie de la population qui a porté le nationaliste hindou Narendra Modi  à la tête de l’Inde. « Modi va nettoyer notre pays! ».

Dans l’immédiat, le gouvernement neutralise les trafiquants, les échappés du fisc, les fraudeurs et les utilisateurs de faux billets, dans un contexte où l’ampleur de l’économie grise correspondrait à près d’un quart (23%) du PIB de l’Inde, selon la Banque mondiale.

Narendra Modi le promet déjà: « J’ai encore d’autres projets en tête pour transformer l’Inde en un pays sans corruption »…

Extraits d’un article de Vanessa Dougnac.

Graines sans parents: éduquer des enfants séparés de leurs parents

Dans le Tamil Nadu, au sud-est de l’Inde, des enfants privés de leurs parents, sont pris en charge dans un cadre éducatif et familial qui leur permet de grandir et s’épanouir sereinement.

Leurs parents sont soit prisonniers à vie, soit malades de la lèpre, ou semi-orphelins, orphelins ou encore sous le seuil de pauvreté.

SEED (Society for Educational and Economic Development),  a été fondée en 1982 et est partenaire d’ASMAE depuis 1999. Elle a mis en place plusieurs écoles, primaire, secondaire et technique, reconnues par le gouvernement indien. L’objectif est d’accompagner au plan éducatif et scolaire l’enfant jusqu’à l’âge adulte et l’insertion professionnelle. Depuis la création, 955 enfants sont sortis de l’école technique.

Parce qu’il avait connu lui aussi une enfance difficile, M.A.R Palanisamy, ancien fonctionnaire d’une grande banque indienne, a créé cette Association afin d’offrir une prise en charge gratuite et totale , du primaire à la formation professionnelle.

Des parents détenus peuvent faire part de leur souhait d’envoyer leurs enfants en pension. L’administration pénitentiaire en informe le fondateur de SEED . Les enfants de 5 à 10 ans qui vont en école primaire (Mahatma Gandhi Primary School), sont logés  et encadrés par des « house mothers ». Ces mamans apprennent aux plus petits à se brosser les dents, à mettre l’uniforme, à respecter l’ordre. Elles sont aussi leurs enseignantes. Ceux qui sont en collège (Mahatma Gandhi Residential High School), vont dans des foyers d’accueil avec des « house fathers » qui prennent soin d’enfants de 10 à 15 ans. Même marginalisés , les parents sont intégrés autant que possible à l’éducation de leur enfant.

Celui-ci devient alors comme la petite graine (seed en anglais), qui semée dans un terreau favorable , peut enfin pousser.

Extrait d’un article de France Lebreton, envoyée spéciale du journal La Croix, au Tamil Nadu.

Le théâtre dansé du Kathakali

Le théâtre dansé du Kathakali est l’héritier des formes de théâtre traditionnel et sacré, tel le Kuttiyatam, l’ancien théâtre sanskrit, exécuté dans les temples,  qui se sont développées au Kerala, jadis constitué de plusieurs petits Etats princiers. Certains de ces rajahs furent également des poètes et des artistes et ont favorisé des expressions théâtrales d’une grande originalité .

C’est au 18ème siècle que le Kathakali a pris sa forme définitive. Le vaste répertoire qui met en scène des personnages mythiques et des héros légendaires plonge ses sources dans les grandes épopées du « Mahâbhârata » et du « Râmâyana ».

Des combats acharnés vont se livrer contre les forces du mal et avec les implacables démons qui toujours cherchent à entraver l’ordre éthique du monde et sa marche harmonieuse , ou Dharma.

 

Un projet de loi sur la GPA en Inde

Août 2016 : l’INDE veut restreindre fortement le recours à la GPA.

Un projet de loi entend réglementer la gestation pour autrui. La ministre indienne des affaires étrangères a déclaré : »c’est un projet de loi très large visant à interdire complètement la pratique commerciale de la GPA »

Si le Parlement vote le texte, les couples étrangers, les célibataires , les concubins et les couples homosexuels ne pourront plus avoir recours à la GPA en Inde. La ministre a précisé que « les couples sans enfants , qui ne peuvent en avoir pour des raisons médicales, peuvent demander de l’aide à un parent proche dans le cadre de la GPA altruiste  » c’est à dire sans contre-partie financière pour la mère porteuse. Enfin, selon le texte , une femme ne pourra porter pour autrui qu’une fois dans sa vie.

Le gouvernement entend lutter contre deux pratiques. Celle d’un « tourisme procréatif » en pleine croissance alimenté par les Occidentaux et celle de riches Indiens qui, selon la ministre  » ont transformé ce qui était un besoin pour certains en une mode « . Elle a stigmatisé notamment des acteurs connus de Bollywood qui souhaitaient un troisième enfant , mais dont les épouses ne souhaitaient pas être à nouveau enceintes. Ces acteurs ont alors fait le choix d’avoir recours à des mères porteuses.

Sushma Swaraj a indiqué que le projet de loi porterait aussi sur le sort et le bien-être de l’enfant. En effet, l’administration indienne a identifié des cas de bébés handicapés qui ont été finalement rejetés par les parents.

L’Inde a légalisé en 2002 le commerce des mères porteuses rémunérées. Des milliers de couples, y compris étrangers, en ont profité pour avoir des enfants.

De nombreux politiques en Inde ont dénoncé un secteur mal régulé qui exploite la pauvreté de certaines femmes , notamment à l’intérieur des minorités tribales .

Comme attendu, ce projet gouvernemental a été critiqué par les propriétaires de cliniques spécialisées. Des mères porteuses ont manifesté contre lui. Une grossesse est généralement rémunérée 5000 euros . la clinique facture les couples entre 20 000 et 30 000€.

Ce secteur d’activité générerait l’équivalent de 2 milliards d’euros , selon la chambre de Commerce indienne.

Lettre de la Présidente

 

26 août 2016

Chers amis,

L’été, pour nous, a déjà bien avancé mais pour nos filleuls, il est terminé depuis plus de deux mois et ils ont tous intégré soit une classe supérieure soit une entrée en supérieur. Une filleule doit repasser des matières en 12ème std. Deux autres sont rentrés dans la vie active avec une petite aide financière pour démarrer. Un troisième ne se présentant plus auprès de Sr Meera et ayant terminé ses études ,voit son parrainage se terminer.

Le 17 juillet a eu lieu la première rencontre des enfants à Vriddhachalam pour l’année scolaire 2016-2017. A cette occasion, les enfants vous ont écrit et j’ai joint à leur lettre, leur photo que j’avais demandée à Sr Meera. Dans les lettres de ceux qui viennent de rentrer dans des établissements universitaires, il se peut que vous trouviez les termes « freshers’days ». Il s’agit des premiers jours d’intégration et de l’accueil fait aux nouveaux par les anciens pour faciliter leur arrivée dans ces établissements.

Certains ont fait allusion aux évènements tragiques de juillet à Nice et à St Etienne du Rouvray et nous ont assuré de leurs prières ainsi d’ailleurs que l’ont fait les Sœurs.

Sœur Meera nous fait le récit de cette journée du 17 juillet :
« Après la messe du dimanche, 140 élèves avec leurs parents se sont enregistrés. (ASEV et Quimperlé)_MG_3634

Trois étaient absents (dont un seulement de l’ASEV).

Sr Teresa , supérieure du Hospice Convent de Pondicherry était l’invitée d’honneur et Sr Stella la nouvelle supérieure de Fatima School était l’invitée spéciale. Présents également Sr Cecilia et A Paramananda Raj (Bhaï). principaux invités et l’assemblée._MG_3671 _MG_3673

 

 

 

 

Sœur Teresa a été honorée d’un châle par Sr Meera et les autres dont le Père Arokiadoss ont été honorés par Bhaï , Belenvendren et Lourdu Shilviya.

Dans son mot d’accueil, Bhaï a rappelé les grandes lignes du projet de parrainage et son fonctionnement, ce qui était bien utile pour les nouveaux parrainés et leurs parents.   _MG_3667

Tous ceux qui avaient obtenu les meilleures notes en 10ème et 12ème (2nde et terminale pour nous) ont été félicités et récompensés . Ces prix ont été distribués par le Père Arokiadoss et Sr Teresa à

N.Pavithira (12ème) premier prix avec 1500 roupies.

I Antony (12ème) deuxième prix avec 1000 roupies

D Kamali Roseline (12ème) troisième prix avec 500 roupies.

T Nazareen Jordan (10ème Quimperlé) premier prix 1500 roupies.

A Ajit Gilbert (10ème) deuxième prix avec 1000 roupies.

M Monal Swetha (10ème) troisième prix avec 500 roupies._MG_3745                                Une photo de groupe a été prise avec les Sœurs et Bhaï ._MG_3697

Trois étudiants (1 de Quimperlé et 2 de l’ASEV) ont terminé leurs études et rentrent dans la vie active .

Tous les trois ont partagé leur expérience et exprimé leur profonde gratitude envers le Père Olivier, leurs parrains, Sr Jane, Sr Meera et Bhaï.

Ils ont évoqué leurs études depuis le primaire jusqu’au collège universitaire grâce au Père Olivier et à la générosité de leurs parrains . Ils sont fiers de dire qu’aujourd’hui   ils se retrouvent dans la société en tant que personnes qualifiées grâce à ce parrainage.

Pour encourager leur vie spirituelle, stimuler une meilleure présence dans différents cours, 30 élèves ont été récompensés par Sr Stella et Sr Cecilia pour leur régularité à la messe du dimanche.

Le Père Arokiadoss, curé de la paroisse, et Sr Teresa principale invitée, ont délivré un message mettant en valeur l’aide, la solidarité, le partage, la gratitude, l’amour, la générosité et le pardon.

Ils ont insisté sur la reconnaissance à avoir envers le Père Olivier et leurs parrains.

Ils ont également félicité et remercié Sr Meera et Bhaï pour leur travail et leur service incessant dans ce projet  pour le bien-être des enfants et un meilleur avenir pour eux.

Sr Meera a félicité et encouragé tous les élèves qui avaient réussi leur examen de fin d’année 10ème et 12ème et demandé à l’assistance de les applaudir pour les encourager et les féliciter. Elle a ensuite souhaité aux futurs étudiants de beaux résultats et un brillant avenir.

Elle a recommandé aux jeunes de remercier les parrains dés qu’ils recevaient un cadeau, des lettres, des photos etc…Par ailleurs, elle leur a conseillé de ne pas décrire la réunion en détails car cela sera fait par les présidents des 2 associations qui l’ont reçu de Sr Meera, mais plutôt de décrire leur vie personnelle, leurs études, leur vie en classe, leurs activités extrascolaires, ce qu’ils ont fait en vacances, comment ils ont fêté leur anniversaire et aussi de répondre aux questions posées par leurs parrains.

Sr Meera a demandé aux parents d’apporter les bulletins de paie pour les foyers d’étudiants en bon état car ils doivent être gardés pendant 5 à 10 ans.
Elle a insisté pour que tous assistent régulièrement à la messe. Un suivi spirituel est très important dans la vie. Les choses matérielles peuvent aller et venir mais la présence de Dieu est toujours avec nous

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Après une dernière prière, tous allèrent prier pour rendre hommage au Père Olivier. Des guirlandes et des fleurs furent déposées sur sa tombe.

 

Un déjeuner fut servi à tous  puis les filleuls écrivirent une lettre à leurs parrains.

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Chacun reçut 300 roupies pour payer leur déplacement et rentra chez lui plein de joie. A 4h tout était terminé. »

 

A vous tous parrains et marraines, je renouvelle les remerciements des jeunes et de l’ASEV qui sans vous ne pourrait rien faire pour ces jeunes !

Une très belle fin d’été à vous tous, avec toutes mes amitiés,

Anne Dumas

Présidente

06 52 09 18 05

asev.dumas@outlook.fr
www.asev-parrainage-inde.com

 

 

 

 

 

 

 

La GPA en Inde

Il n’y a pas de GPA altruiste

 

A New-Dehli, de très nombreuses cliniques pratiquent la Gestation Pour Autrui (GPA) mais il ne s’agit pas de mères indiennes bienveillantes acceptant de porter un enfant pour une mère stérile dépressive ; il s’agit d’une véritable affaire financière.

 

Officiellement, ces mères porteuses indiennes permettent ainsi à leur propre famille de mieux vivre ; la sous-traitance de la grossesse se monnaie entre 2.000 et 8.000 $ mais la part reçue par la mère porteuse n’est pas connue. Leur profil est : jeunesse, pauvreté, niveau d’éducation bas. Elles sont soustraites à leur famille pendant 9 mois et enfermées dans une clinique.

Dans ce nouveau type de Lebensborn, des « travailleurs sociaux » (geôliers) veillent à faire respecter la discipline : saisie des téléphones portables, règlement drastique en matière d’alimentation et d’heures de sommeil, sanctions physiques si la règle n’est pas respectée. Il y a des injections répétées d’hormones pour faire grossir l’utérus et favoriser l’implantation de 5 ou 6 embryons pour maximiser les chances de réussite ; quelle conséquence sur le fœtus et sur la santé de la mère ?

En cas d’échec, les femmes sont rejetées dans la nature ; leur nom ne figure d’ailleurs dans aucun registre. En cas de mort en couches, la famille de la mère porteuse n’est pas indemnisée.

Aujourd’hui, les Sud-Africaines sont les moins chères du marché ; elles livrent les bébés pour 300 € ; on les exporte en Inde pendant la grossesse.

 

Une pétition a conduit à interdire en Inde la GPA pour les étrangers à l’automne 2015, mais les directeurs de cliniques sont aussi propriétaires d’établissements au Cambodge, au Népal, en Australie ou ailleurs.

Aux USA, 10% des clientes d’une agence spécialisée affirment sous-traiter leur grossesse pour ne pas entraver leur carrière ni modifier leur silhouette.

Le but, à peine caché, c’est qu’à terme les gens cessent complètement de se reproduire naturellement.

Après tout, comme disait Pierre Bergé en 2012 « louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? ».

Statistiques de l’INDE

Quelques statistiques extraites de la revue des MEP de février 2016

 

Population actuelle de l’Inde : 1,24 milliard d’habitants (dont 60 % de moins de 25 ans – l’une des populations les plus jeunes du globe).

Principales religions : Hindous          80 % (966 M)

Musulmans     13 % (172 M)

Chrétiens        2,6 % (28 M)   Catholiques    17 M

Orthodoxes     2,5 M

Protestants     5,5 M

Peu de Chrétiens au nord.

Au sud :           22 % au Kerala et 16 % au Tamil Nadu.

L’Inde compte 5 cardinaux, 233 évêques (dont 177 en exercice), 15.420 prêtres et 7.031 religieux desservant 10.715 paroisses, 14.431 établissements d’éducation à tous les nivaux, 637 hôpitaux et 2.055 dispensaires. Il y a également 94.025 religieuses.

 

Bangalore est surnommée « la Rome de l’Est ». On y compte 515.000 catholiques, 142 paroisses desservies par 129 prêtres diocésains et 96 religieux. Le diocèse gère 121 établissements d’éducation, depuis le pré-primaire jusqu’au collège universitaire, 41 écoles professionnelles depuis l’atelier de couture jusqu’à l’école de médecine et les écoles d’ingénieurs.

9 hôpitaux, 28 dispensaires et 6 centres de traitement de la lèpre et du SIDA complètent le tableau.

 

Comme tous les Indiens, les chrétiens de l’Inde sont guettés par les démons du particularisme et de l’antagonisme. Cela se manifeste de différentes façons selon les régions : conflits rituels entre latins et orientaux au Kerala, conflits de castes au Tamil Nadu, tensions linguistiques au Karnataka, problèmes ethniques dans le Nord et l’Est. Les chrétiens en Inde sont Indiens et partagent les sujets de fierté, les ambitions, les luttes et les problèmes de l’Inde.

 

 

Pèlerinage en Himalaya

 

En avril-mai 2015, les Pères Henri Bonal (que nous connaissons bien), Lucien Legrand (que nous connaissons un peu) et Yann Vagneux, des Missions Etrangères de Paris, sont allés en pèlerinage au nord de l’Inde (Darjeeling et d’autres villes voisines) avec un double but : aller sur les pas des 11 pères MEP qui ont évangélisé cette contrée aux portes du Tibet de 1881 à 1936, et prospecter auprès des évêques des 3 diocèses pour éventuellement envoyer des jeunes missionnaires MEP en renfort.

Le Père Bonal est en Inde du Sud depuis près de 50 ans. Il a fondé des paroisses et bâti 6 églises. Il fut l’exécuteur testamentaire du Père Olivier.

Le Père Legrand est professeur d’Ecritures saintes au grand séminaire pontifical St Pierre de Bangalore dpuis plus de 60 ans. Il est une figure bien connue des experts en Bible dans le monde.

Le Père Vagneux est en missions à Vârânasî (Bénarès) depuis plus de 3 ans ; il renoue avec la présence des MEP dans le nord de l’Inde, présence qui prit fin en 1936-37.

Noël en Inde

Chez les Soeurs de Cluny à Cuddalore, les enfants de la maternelle jouent pour leurs parents la représentation des évènements importants de Noël.

Les Soeurs elles-mêmes en minibus avec haut-parleurs sur le toit, circulent dans les environs de Cuddalore pour chanter Noël aux villageois ravis.

Evènements en France

< Concert Solidaire

Un concert pour l’ASEV a été donné le dimanche 17 janvier à 17h30 par l’Association Accords Solidaires

à La Celle St Cloud à l’Auditorium du Carré des Arts, 6 rue Yves Levallois

Il y avait un duo avec Nicolas Dupont , violon et Olga Kirpicheva, piano.

Au programme : Ravel, Claude Debussy, Thierry Pécou, .

Marché de Noël 2016

Le marché de Noël 2016 a eu lieu les 9 et 10 décembre et a connu un beau succès comme les quatre années précédentes. Les bénéfices aideront d’anciens parrainés qui ont initié des projets sociaux intéressants dans le domaine de l’éducation et de la santé.